Le mystère entoure les détails des communications secrètes entre Assad et Olmert, facilitées directement par la Turquie. Le ministre turc des Affaires étrangères, Ali Babacan, se contente de déclarer : « Nous en sommes au début du chemin », tandis qu’Abdul Halim Khaddam, ancien vice-président syrien, affirme que les négociations ont atteint une phase avancée. Il indique que la Turquie a dépassé son rôle de simple messager en présentant ses propres propositions pour aider les deux parties.