« Que l’on soit d’accord ou non avec Abdel Halim Khaddam, il reste le dernier des Omeyyades à abattre ses chevaux sur la piste arabe.
Et que l’on soit d’accord ou non avec Khaddam, il est le dernier sabre damascène, la dernière bride arabe de Banias, et combien j’aurais souhaité qu’il ferme les yeux sur la « Forteresse de Marqab ». Mais le destin a voulu que la Tour Eiffel éteigne ses lumières dans les yeux du dernier homme d’une époque de fierté. »