Khaddam : Le développement est un besoin national et les mauvaises pratiques ont été imposées par des circonstances coercitives

publisher: اليوم

Publishing date: 2004-08-26

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Dans une interview accordée hier au magazine Black and White (propriété du fils du ministre syrien de la Défense, Hassan Turkmani), le vice-président Abdul Halim Khaddam a déclaré en réponse à une question sur l'appel à l'abolition de l'article 8 de la Constitution syrienne, qui stipule que le Le Parti Baath socialiste arabe (est le chef de l'État et de la société), qui donne au parti la capacité de formuler diverses politiques dans le pays et d'intervenir et de superviser ses autorités exécutives. Il est nécessaire de faire la distinction entre le processus de développement du parti, de l'État et de la société, qui est une nécessité nationale et un droit de chaque citoyen, et le processus de changement du système et de son remplacement par un nouveau système.

Khaddam a considéré le premier cas comme une nécessité nationale, comme l’ont souligné les dirigeants du parti. Quant au deuxième cas, qui appelle au changement et au remplacement du régime, il s'agit d'une idée proposée par l'une de deux personnes : soit une simple personne qui ne se rend pas compte du danger que cela représente pour l'avenir, la sécurité et la stabilité du pays et ne sait pas ce qui pourrait arriver après ça. La seconde est qu'il connaît les résultats dangereux, les veut et les recherche pour des raisons qui ne sont pas liées aux intérêts du pays, mais qui profitent aux projets étrangers d'une part, et à Israël d'autre part, afin que l'État qui Le fardeau de la résistance au projet sioniste disparaîtrait et, malgré toutes les circonstances difficiles, il resterait fidèle à ses constantes nationales et nationales.

Concernant la liberté d'opinion et d'expression, Khaddam a souligné que la liberté est l'un des droits naturels de l'être humain et qu'il ne doit y avoir aucune restriction à la liberté de l'individu, qui ne s'arrête qu'aux frontières de la société, mais les mauvaises pratiques qui ont eu lieu sont non lié aux politiques du parti et de l’État, mais plutôt dû à une erreur humaine de la part de l’individu ou aux circonstances. Les forces de sécurité imposées au pays.
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