L’ancien Vice-Président syrien, Abdel Halim Khaddam, a exprimé des doutes concernant la faisabilité de l’établissement d’une zone tampon sécurisée le long de la frontière turco-syrienne lors d’une interview avec Radio Sawa.
Il a justifié son scepticisme en déclarant : « Une zone tampon nécessite une entité capable d’assurer sa protection. La Turquie est-elle prête à s’engager dans une confrontation militaire en solo avec le régime ? Je pense que la Turquie est disposée à prendre des mesures militaires, mais sous l’égide d’une alliance internationale. »